DECOUVRIR LIMOGES

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L'OFFICE DE TOURISME

12, boulevard de Fleurus – LIMOGES

Tél. : 05 55 34 46 87

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BALADES

- LA GARE DES BENEDICTINS
Conçue par l’architecte Roger Gonthier, cet édifice est aujourd’hui le symbole de la ville. Sa coupole et son campanile de 60 mètres, pourtant décrié à l’origine, en font l’une des plus belles gares de France, si ce n’est la plus belle. Son hall richement décoré, ses vitraux art déco, l’élégance de ses formes retiennent l’attention des voyageurs qui s’y arrêtent.


EGLISES, CHAPELLE ET CRYPTES

- L'ÉGLISE SAINT-MICHEL-DES-LIONS

Église repère grâce à son clocher de style limousin orné d’une sphère de cuivre et visible à des lieux. Saint-Michel est surtout la gardienne des reliques des saints patrons de Limoges : saint Martial, saint Loup et sainte Valérie. Elle tient son nom des lions de granit gallo-romains qui garde son entrée sud.

- LA CRYPTE SAINT-MARTIAL
L’abbaye Saint-Martial était une importante basilique romane. Connue dans tout le royaume pour ses chants polyphoniques et ses enluminures, elle possédait une bibliothèque d’une richesse exemplaire qui faisait de Saint-Martial la rivale de Cluny. Elle fut bâtie sur une nécropole ancienne où les archéologues ont retrouvé plusieurs sarcophages, attribués à saint Martial et à sainte Valérie

- L'ÉGLISE SAINT-PIERRE-DU-QUEYROIX
Dotée d’un clocher typiquement limousin passant du carré à l’octogone, cet édifice de granit rose abrite de magnifiques autels, statues en bois doré et autres vitraux.

- CHAPELLE SAINT AURELIEN

- LA CATHÉDRALE SAINT-ETIENNE, UN CHEFS-D’ŒUVRE GOTHIQUE
La cathédrale Saint-Étienne, située dans le quartier historique de la Cité domine le paysage urbain de Limoges. Elle est l’un des rares monuments de style gothique du sud de la Loire.
La construction de cet imposant édifice, sur les restes de l’ancienne cathédrale romane du XIe siècle dont quelques témoignages subsistent, nécessita plus de six siècles.
Richement décorée, la cathédrale est ornée de sculptures datant des XIVe et XVIe siècles.

LE PALAIS DE L'EVECHE – MUSEE DES BEAUX ARTS
Cet ancien Palais épiscopal du XVIIIe, transformé en musée municipal des Beaux Arts, abrite des collections permanentes remarquables :
- Orfèvrerie et Émail
- Archéologie égyptienne et gallo-romaine,
- Sculpture,
- Peinture, avec notamment des toiles de Renoir, Guillaumin et Suzanne Valadon.

Il est également doté d’une salle d’expositions temporaires.

L’orfèvrerie et l’émail :
Ces deux arts ont été développés dès l’époque mérovingienne par les artistes de la région. Placés sous le patronage de saint Éloi, leurs chef-d’œuvres ont été diffusés dans toute la Chrétienté . Le Musée des Beaux Arts témoigne, par sa superbe collection d’émaux champlevés, cloisonnés ou peints, dont la fabrication s’étale du XIIe au XVIIIe siècle, de cette renommée. Aujourd’hui, une Maison de l’Émail vous invite à vous initier à ces techniques tandis que des ateliers vous donnent à contempler, voire à acquérir, des créations contemporaines. (Voir MUSEE – QUARTIER DE LA CATHEDRALE)


LES PARCS ET JARDINS

- LES JARDINS DE L'EVECHE
La perle du centre ville

Reconstituées en 1976, les terrasses de l’Ancien Palais Episcopal sont agrémentées de parterres fleuris, de mails et de bassins qui ont retrouvé l’harmonie originelle d’une composition rigoureuse. Lieu de détente, de promenade et de contemplation, c’est aussi un jardin botanique extraordinaire qui présente sur près de deux hectares plusieurs milliers de plantes issues des cinq continents. Classées, étiquetées, elles sont regroupées sur 19.000 m², par familles botaniques dans le jardin systématique, par usage dans le jardin thématique ou par biotope dans le jardin des milieux naturels régionaux.

Les Jardins de l‘Évêché, héritiers des jardins du Palais épiscopal constituent un des fleurons des espaces verts de Limoges, ville distinguée par une « 4ème fleur ». Étagé sur différents niveaux en terrasses, le jardin botanique comporte :

Un jardin systématique où plus d’un millier de végétaux des cinq continents, dont certains très rares, sont classé par familles botaniques,

Un jardin à thème (plantes mellifères, tinctoriales, aromatiques, médicinales…)

Une reproduction des milieux naturels caractéristiques du Limousin.

- LE JARDIN D'ORSAY
Ombragée par des marronniers bicentenaires, cette esplanade, qui recouvre les ruines des arènes romaines, abrite un kiosque à musique

- LE CHAMPS DE JUILLET
En sortant de la gare SNCF des Bénédictins, le visiteur se trouve face à un vaste jardin fleuri en toutes saisons; cet ancien champ de manoeuvres militaires a été converti dès le 19e siècle en un jardin public doté d'un bassin et d'allées ombragées. Les jardiniers de la ville y maintiennent vivante la tradition de la broderie

- LE BOIS DE LA BASTIDE
Le Bois de La Bastide, d'une surface de 75,25 ha, très apprécié par les promeneurs et surtout les joggers limougeauds, appartient à la Ville de Limoges depuis 1975. Il faisait partie de l'immense domaine du Baron Martin de la Bastide. Sa gestion est assurée par le service municipal des Espaces Verts en collaboration avec l'ONF. Un plan d'aménagement forestier a permis de maintenir l'état boisé sans renouvellement brutal. Le taillis est composé majoritairement de chênes pédonculés.

- LE PARC VICTOR THUILLAT
Sur une surface de 3,5 hectares, des arbres remarquables, une collection de 750 vivaces et une rivière anglaise confèrent un charme particulier au parc Victor Thuillat


LES BORDS DE VIENNE

Les berges de Vienne, et à qui Limoges doit sa naissance et son développement, sont aujourd’hui aménagées pour le plaisir des promeneurs et des sportifs.

- LE QUARTIER DES PONTS
A l’origine, c’est un lieu de passage, un gué, comme en témoigne le nom d’Augustoritum (« gué d’Auguste ») qui encouragea les Romains à s’installer sur ce site.

A cette époque, Limoges était une ville bicéphale : d’un côté, le Château, siège de la vicomté et de l’influence de l’abbé de Saint-Martial, de l’autre, la Cité et son évêque. Garantissant les échanges et la prospérité de chacun, les ponts étaient essentiels pour les deux parties. C’est au XIIIe siècle que les autorités du Château décidèrent de la reconstruction du pont Saint-Martial. Il fut édifié sur les bases du pont romain rasé à la fin du XIIe siècle par Henri II de Plantagenêt. En réponse, l’évêque entreprit l’édification du pont Saint-Étienne, comptant huit arches ogivales, pour capter une partie du trafic commercial et favoriser le passage des pèlerins à destination de Saint-Jacques de Compostelle.

- LE PORT DU NAVEIX ET LES FABRIQUES DE PORCELAINE
Port fluvial sans bateau, le Naveix était essentiel pour la réception des bois de flottage. Au début du XIXe siècle, la présence de ce combustible en abondance, invita des porcelainiers à s’installer à proximité, avant que l’arrivée du chemin de fer et l’utilisation de la houille ne viennent changer la donne. Aujourd’hui, seul le four des Casseaux témoigne encore de ce passé. Ce four à globe unique en France, classé monument historique, est conservé par la plus ancienne des manufactures encore en activité, Royal Limoges.

 
BALADES EN VILLE

- L'HOTEL DE VILLE (1878-1883)
Limoges doit sa maison commune au legs de M. Fournier, riche rentier mort sans descendance. Monumental et richement décoré par des artisans de renom, cet hôtel de ville est surmonté d’un campanile de 43 mètres de haut. La façade principale est ornée de quatre médaillons de mosaïque à l’effigie d’hommes illustres de la ville : l’émailleur Léonard Limosin, le chancelier d’Aguesseau, l’avocat girondin Pierre Vergniaud et le maréchal Jean-Baptiste Jourdan. Véritable curiosité, une magnifique fontaine de bronze et de porcelaine trône devant son entrée depuis 1893. Décorée par le Directeur de l’École Nationale des Arts Décoratifs de Limoges de l’époque, elle offre à nos regards quatre génies symbolisant le dessin, la peinture, le modelage et le tournage

- L'ANCIEN HOPITAL
Tandis que plusieurs monuments remarquables témoignent de l’importance administrative et politique de notre ville au cours des siècles, d’autres montrent le souci de conservation du patrimoine à travers des réaffectations réussies. Les transformations qu’ils ont alors subies, à l’exemple de l’ancien hôpital qui abrite aujourd’hui la Bibliothèque Francophone Multimédia, une salle d’exposition (La Galerie des Hospices) et une salle de réception (La salle Augustoritum), ne portent pas atteintes à leur physionomie. La façade de cet édifice ayant a été conservée, il conserve son unité et s’intègre avec élégance dans son nouvel environnement.

- LA BIBLIOTHEQUE FRANCOPHONE MULTIMEDIA
Intégrée à l’architecture de l’ancien hôpital, et laissant apparaître une mosaïque datant d’Augustoritum, cette médiathèque est un pôle associé à la Bibliothèque nationale de France pour la francophonie. Sise place Aimé Césaire, elle dispose de fonds importants en libre accès.

- L'UNIVERSITE DE LIMOGES
Récente, elle est naturellement répartie sur plusieurs campus périphériques et ce n’est qu’après le réaménagement du quartier, qui succéda lui-même à d’importantes fouilles archéologiques, que ses services centraux occupèrent l’ancien couvent des sœurs de Saint-Alexis et sa chapelle.

- LE «BOULEVARD DE LA PORCELAINE»
De nombreux monuments rappellent le savoir-faire exceptionnel d’artisans qui contribuèrent à asseoir la renommée internationale de Limoges, aujourd’hui capitale des Arts du Feu (céramique, verre, émail). Outre les bâtiments « officiels » que la ville doit à sa qualité de capitale régionale, de nombreux sites, comme des ateliers ou des magasins d’usines, montrent l’évolution d’arts sans cesse renouvelés au fil du temps. Bien que ces derniers soient assez dispersés, le boulevard Louis Blanc présente, avec ses magasins d’usine, ses ateliers de décor sur porcelaine, ses émailleurs et ses antiquaires, un bel aperçu de ces métiers d’art.

- LE QUARTIER DE LA MOTTE
«La ville haute» tire son nom de la motte ou butte sur laquelle le vicomte fit ériger son donjon. C’est à proximité de cet emplacement que se trouvent les halles centrales. Leur architecture métallique, typique du XIXe siècle, est ornée d’une frise de porcelaine ne comptant pas moins de 328 panneaux aux décors significatifs des métiers de bouche. Et c’est ici, place de la Motte, qu’est célébrée, en biennale , la rencontre de la gastronomie locale et des arts de la table : Toques et porcelaine.

- LE QUARTIER DE LA BOUCHERIE
Sorti tout droit du Moyen Âge, il doit sa physionomie à la vigilance des puissants bouchers qui ont su le préserver. Organisés en corporation, ils vénéraient Saint Aurélien, à qui ils dédièrent une chapelle pour abriter ses reliques. Richement décorée, elle fut achetée par la confrérie et ainsi sauvée de la destruction au moment de la Révolution.

Côtoyant aujourd’hui artistes et antiquaires, les bouchers, toujours présents, vous invitent à visiter une maison typique, avec son mobilier d’origine, voire à se joindre à eux lors de leurs processions, notamment au moment des ostensions. Ils vous convient également à une fête annuelle de la gastronomie : La Frairie des Petits Ventres.

- LA COUR DU TEMPLE
Aux ruelles sinueuses du Moyen Age, l’urbanisme moderne substitua des rues où bourgeoisie commerçante et noblesse de robe rivalisèrent pour afficher leur réussite. De cette période, tout le quartier conserve de magnifiques hôtels particuliers et autres immeubles bourgeois. Dans cet ensemble, la Cour du Temple constitue un havre de paix d’une rare élégance : des immeubles à étages avec colombages reposent sur une base en granite faite d’arcade, de colonnes et de galbes.

- LE PRESIDIAL ET LE PALAIS DE L'INTENDANCE
Tribunal royal au XVIe siècle, puis Palais de Justice, il était, avec le Palais de l’Intendance, au cœur de l’administration de l’Ancien Régime. C’est de là que l’intendant royal Turgot amorça, au XVIIIe siècle, une politique d’urbanisme ambitieuse, destinée à rendre la ville plus sûre et plus praticable. L’une de ses réalisations les plus spectaculaires est le réaménagement de la place Dauphine, aujourd’hui place Denis Dussoubs. De plan circulaire, elle possède plusieurs pavillons de briques décorés d’arcades et d’oculus. Turgot est également à l’origine de l’industrie porcelainière à Limoges. En poste lorsque du kaolin fut découvert puis identifié à Saint-Yrieix en 1768, il encouragea la création de la première fabrique. Placée sous la protection du Comte d’Artois, elle obtint le titre de Manufacture Royale en 1784.

- LE PALAIS DE JUSTICE
Témoin de l’architecture néoclassique de la fin du XIXe siècle, où se mêlent classique et gréco-romain, il siège au sommet d’un monumental escalier dominé d’une puissante colonnade, elle-même coiffée d’un fronton. Juste derrière, occupant le point culminant de la ville, le jardin d’Orsay. Aménagé sur les restes de l’ancien amphithéâtre romain ce lieu de détente sait redevenir « théâtre » lors de manifestations musicales.

- AUTOUR DE LA PLACE DE LA REPUBLIQUE
Baptisé ainsi au lendemain de la période révolutionnaire, cet endroit était le lieu d’influence du « troisième » homme de Limoges après le vicomte et l’évêque : l’abbé de Saint-Martial. L’abbaye ayant été détruite, c’est aujourd’hui une place vivante bordée de cafés qui étalent leurs terrasses dès qu’arrivent les beaux jours.

- L'ANCIEN COLLEGE DES JESUITES
Devenu lycée Gay Lussac, la monumentale façade de cet édifice, œuvre de l’architecte Joseph Brousseau, comporte deux campaniles . La vaste chapelle adjacente accueille, quant à elle, des retables baroques.

- LE PAVILLON DES VERDURIERS
Le plus récent des sites admirables dans ce quartier est un ancien entrepôt frigorifique circulaire et de style art déco. Orné de grès et de mosaïques c’est aujourd’hui un pavillon municipal d’exposition.
 
LES HALLES

- LES HALLES CENTRALES

Place de la Motte

Du lundi au samedi 07h00 – 14h00

Dimanche et jours fériés 08h00 – 13h30

- LES HALLES CARNOT

Place Sadi Carnot

Du mardi au samedi 07h00 – 14h00

 
BROCANTES

- LES PUCES DE LA CITÉ – 2ème dimanche de chaque mois
Dans le quartier de la Cathédrale, une foire à la brocante est organisée dans les rues du quartier de la cité. Le promeneur mais aussi le collectionneur peut alors chiner à loisir…

 
MUSÉES

Ces lieux de mémoire sont les dépositaires de l’Histoire, parfois douloureuse, comme le Musée de la Résistance, ou de l’histoire de Limoges dont le Musée des Beaux-Arts conserve les vestiges archéologiques et de ses hommes célèbres comme Auguste Renoir, peintre impressionniste né à Limoges en 1841.

- MUSÉE NATIONAL ADRIEN DUBOUCHÉ
Fondé en 1845 par un philanthrope qui consacra une partie de sa fortune à enrichir une collection retraçant l’histoire de la porcelaine de Limoges et plus généralement de la céramique, ce musée, devenu national en 1881, est aujourd’hui riche de plus de 12 000 objets.

8 Bis Place Winston Churchill - LIMOGES – Tél. : 05 55 33 08 50
www.musee-adriendubouche.fr

Chefs-d’œuvre en Céramique de l'Antiquité à nos jours, dont une collection exceptionnelle de Porcelaine de Limoges
En plein cœur de la capitale mondiale des arts du feu, le Musée National Adrien Dubouché propose un parcours de découverte des techniques de création de la céramique. Mais sa vocation va bien au delà, il présente une véritable histoire de l’art et des civilisations à travers le prisme de cette matière qui n’a pas fini de dévoiler ses atouts. C’est dans un espace emblématique, totalement conçu pour mettre en valeur ses 5 000 pièces, que le visiteur est reçu.

- FOUR DES CASSEAUX - ANCIEN FOUR À PORCELAINE - MONUMENT HISTORIQUE
28 rue Donzelot - LIMOGES
www.museedescasseaux.com

Musée abritant un four rond à porcelaine classé Monument Historique et retraçant l'aventure de la fabrication porcelainière sous l'angle des techniques et de la mémoire ouvrière.

Le Musée des Casseaux abrite le Four des Casseaux, construit en 1904 et qui, aujourd’hui, est un site Historique et Technique consacré à la porcelaine de Limoges.

Ce bâtiment industriel du XIXème siècle retrace les évolutions de la fabrication et témoigne des difficultés et succès dans cette quête de la maîtrise du feu. 

Ce savoir-faire se dévoile à travers la préparation des pâtes, le coulage et le calibrage, au cours des multiples cuissons, mais aussi par les outils, les machines et les nombreuses autres pièces exposées. Tous ces éléments rappellent l'omniprésence de la main de l'homme et par dessus tout, son combat contre les flammes, toujours dans un souci de bien faire.

Parmi les vestiges de l’épopée de la porcelaine de Limoges, le Musée des Casseaux est un marqueur fort. Ce musée associatif, créé dans les années 1980 de l’union d’industriels passionnés d’histoire et de patrimoine, embarque littéralement ses visiteurs dans un voyage dans le temps. Situé sur un site historique, cet imposant bâtiment industriel du XIXème siècle à l’architecture remarquable est un véritable témoin des prouesses humaines et techniques dans l’histoire de l’industrie porcelainière. La présence de machines d’époque diffuse une atmosphère authentique dont la pièce maitresse se laisse découvrir en son cœur : le four des Casseaux. Classé monument historique en 1987 pour son ingéniosité et le symbole humain et industriel qu’il représente, c’est l’unique four rond à flamme renversé encore debout en France. Construit en 1902, il cuit ses premières pièces en 1904 et s’est éteint en 1957. D’architecture industrielle, il a une capacité de 80 mètres cube, pouvant contenir de 10 000 à 15 000 pièces par cuisson. Le principal enjeu de son utilisation se situe dans la maitrise du feu et cela se constate dans le processus de cuisson qui exige près d’une semaine par fournée ! 

- CITÉ DES MÉTIERS ET DES ARTS
5 rue de la Règle - 87000 LIMOGES
www.cma-limoges.com

Le Compagnonnage et ses œuvres, ainsi que des expositions temporaires.

Au chevet de la Cathédrale de Limoges, la Cité des Métiers et des Arts abrite le centre d’exposition de chefs-d’œuvre des Compagnons et Meilleurs Ouvriers de France. Le visiteur est invité à découvrir l’histoire du Compagnonnage et la richesse de ses coutumes. Sur le site de l'ancienne abbaye médiévale de la Règle, la Cité des Métiers et des Arts est aujourd'hui un hommage unique aux différents corps de métiers et à ceux qui ont dû transmettre la tradition depuis des générations.


- MUSÉE DE LA RÉSISTANCE DE LIMOGES
7 rue Neuve Saint-Etienne - 87000 LIMOGES
www.ville-limoges.fr

Il présente les différentes formes et les actions de la résistance locale à travers une collection d'objets, d'armes et de documents authentiques.

Situé dans l'un des cœurs historiques de Limoges, le musée fut ouvert en 1989. Il aborde également les thèmes du nazisme et de la déportation. Expositions temporaires (payantes).

Découvrez les vidéos réalisées par France 3 sur la Résistance en Limousin : http://lesresistances.france3.fr/documentaire-limousin

Cet établissement culturel de la Ville de Limoges  illustre les valeurs citoyennes et solidaires portées par la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Dédié à tous ceux qui se sont sacrifiés pour défendre les valeurs fondamentales de la République, il est pour vocation de faire vivre la mémoire en offrant un lieu pédagogique et de diffusion de l’information, notamment pour le jeune public.

Situé dans l’ancien couvent des Sœurs de la Providence du XVIIème et XVIIIème siècle rue Neuve Saint-Etienne, au cœur au quartier de la Cité, il propose sur 1400m2 un parcours muséographique retraçant rigoureusement les faits historiques de la Seconde guerre mondiale et particulièrement  la Résistance, l’occupation et la déportation en Haute-Vienne. 

Décliné en dix séquences, à partir de 1939, ce parcours dynamique découle du programme scientifique élaboré par Olivier Wieviorka, historien de renommée nationale et spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, Pascal Plas, historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale dans le Centre-Ouest, et Annie Martin, directrice du musée.

Deux plateaux accueillent les collections permanentes, constituées de près de 800 pièces ; Le musée comprend également une salle d’expositions temporaires, une salle pédagogique permettant l’organisation d’animations pour les scolaires, et un centre de documentation ouvert aux chercheurs.

Ce  musée a été réalisé par la Ville de Limoges pour un coût de 7 millions d’euros. Son aménagement a nécessité de très importants travaux entre 2009 et 2011, qui ont permis de valoriser un patrimoine remarquable. En plus du musée de la Résistance l’ensemble immobilier réhabilité comporte une salle de conférence, l’espace Simone Veil


- MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE LIMOGES
Place de l’Évêché - 87000 LIMOGES
www.museebal.fr

Collection exceptionnelle d'émaux, de peintures et d'antiquités égyptiennes. Il retrace également 2000 ans d'histoire de la ville à travers des maquettes

Ancien palais épiscopal, ce grand bâtiment de style XVIIIème siècle, conçu par les frères Brousseau, renferme de vrais trésors. Après avoir servi provisoirement de caserne, puis d'hôpital, ses décors furent restaurés à partir du Concordat (1802) et complétés au cours du 19ème siècle : La chapelle, par exemple, conserva son autel surmonté de la toile de Suvée représentant Saint Louis vénérant les reliques de la Passion dans son cadre sculpté par Babel (1772) mais reçut, dans la seconde moitié du 19 ème siècle, un tabernacle de style néo-roman, des tapisseries, un tapis d'Aubusson et des vitraux.

Inoccupé à la fin de 1906, suite à l'application de la loi de séparation entre les Églises et l'État, classé au titre des Monuments historiques le 16 septembre 1906, le palais épiscopal, désormais propriété de la ville, devient en 1912 le musée municipal de l'ancien Évêché, futur musée des Beaux-Arts de Limoges.

N'hésitez pas, ils s'offrent gratuitement aux regards : collection d'émaux unique au monde (émail sur cuivre champlevé du Moyen-Age, émaux peints de la Renaissance, mais aussi art-déco ou contemporain), peintures impressionnistes (notamment celles de Renoir, né à Limoges), objets venus du fond des âges (du Limoges gallo-romain comme de l'Égypte ancienne).

Installé au pied de la cathédrale dans le quartier historique de la Cité, le musée des Beaux-Arts de Limoges occupe l’ancien palais épiscopal édifié à la fin du XVIIIe siècle, aujourd’hui classé Monument historique. Ce bâtiment majestueux, situé au cœur de jardins dominant la vallée de la Vienne, accueille le musée depuis 1912.

Entre 2006 et 2010, la Ville de Limoges a mené une complète restructuration de son musée : la rénovation des bâtiments anciens et la construction d’extensions ont fait du musée un lieu vivant où chacun est invité à venir et revenir au fil de ses envies… 

Les collections présentées sont réparties en quatre grands pôles : 

La collection d’émail assure la singularité et la renommée du musée : elle offre un large panorama de la production des ateliers limousins du XIIe siècle à nos jours et un aperçu de la création internationale. Un trésor à découvrir. 

Encore largement méconnue,La collection Beaux-Arts propose des peintures de la Renaissance au XXe siècle, parmi lesquelles, entre autres, des oeuvres de Renoir ou Valadon, originaires tous deux de la région. Elle propose en outre un remarquable ensemble d’estampes et dessins, complété par des sculptures modernes et contemporaines. 

Le musée doit sa belle collection d’antiquités égyptiennes, riche de près de 2000 pièces, à la générosité de Jean-André Périchon, un industriel originaire du Limousin qui fit carrière en Moyenne Egypte au début du XXe siècle. 

Rythmée par une série de maquettes, l’histoire de Limoges, depuis sa création à l’époque gallo-romaine jusqu’au début du XXe siècle, est illustrée notamment par du mobilier archéologique, des sculptures romanes et gothiques ou encore des peintures… Un voyage dans le temps servi par des œuvres remarquables

- MUSÉE DES DISTILLERIES LIMOUGEAUDES
54 rue de Belfort - LIMOGES
www.distillerie-du-centre.fr

Pendant près de deux siècles, Limoges fût la ville des distilleries. Important carrefour d'échanges, elle recevait cognac, armagnac, rhum, vins de liqueur, sucre de canne, fruits, plantes et épices, indispensables à la fabrication de nombreuses spécialités.

Possédant en grande quantité les chênes pour fabriquer les fûts, une eau pure et savoureuse, une main d'œuvre experte et créative, Limoges a vu ainsi se développer et prospérer, à côté de la porcelaine, une nouvelle activité. Ainsi de 1780 à 1930, il y avait plusieurs dizaines de distilleries à Limoges. 
Au milieu des arômes des matières premières et des fabrications en cours, vous pourrez partager les vénérables traditions artisanales des maîtres liquoristes d'antan, encore respectées aujourd'hui.

- MAISON TRADITIONNELLE DE LA BOUCHERIE
36 Rue de la Boucherie - LIMOGES





 
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Hôtel Bistrot Le Marceau

Au centre ville de Limoges
2 Avenue de Turenne 87100 Limoges
+33(0)5 55 77 23 43
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